Mois: septembre 2015

Une Foodie au Havre [Kyriad]

Je n’ai sûrement pas fait le tour de tous les hôtels et restaurants du Havre, mais j’en ai quand même épuisé un petit quota ! Mon périple en ces terres étant maintenant terminé, voilà le dernier article de la saga foodie dédiée au Havre.

Jour 1

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Du poisson et de la viande, autant se la jouer sur les deux tableaux dès le début. En entrée, une mousse de saumon et en plat une brochette de poulet. Tout va très vite, à peine le temps de commander que l’assiette est déjà arrivée, à peine le temps de la finir qu’elle est déjà retirée. J’exagère un petit peu mais l’idée est là, je suis censée me détendre et je n’ai pas l’impression d’avoir le temps de souffler, alors même que nous sommes au dîner et donc logiquement non pressés par le temps. Premier jour mitigé car je ne parviens pas à me sentir à l’aise à table, un comble. Les serveurs et serveuses sont toutefois courtois et font preuve de bons sentiments, je prends donc mon temps pour rendre mon verdict.

Jour 2

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A table midi et soir en ce deuxième jour au restaurant du Kyriad que je n’avais pas encore cité : le Karousel. Les plats s’enchaînent et me révèlent que la cuisine n’est pas forcément du plus haut de gamme mais le restaurant semble pourtant y mettre les formes avec une large dose de bonne volonté. Poisson le midi, viande le soir, je tente au maximum de varier les plaisirs en parcourant à loisir l’étendue de la carte. Je vois le repas du terroir qui me fait de l’œil (à base de trou normand, de livarot, d’andouille, de camembert, de pommeau, de crêpe flambée au calvados, de saumon mariné au cidre aaaah), mais je ne sais pas encore si je craquerai un jour dessus, ayant trop peu de temps pour manger le midi et ne voulant pas rouler sous la table en ingurgitant tant de nourriture au dîner. Cela me conforte en tout cas de voir qu’il y a bien des plats régionaux servis ici. Quoiqu’il en soit j’ai trouvé mon petit canard très bon, peut-être grâce au verre de vin rouge, qui ce soir m’a été servi avant mon plat, ouf !

Jour 3

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Tarte aux pommes au miel

Encore du canard, vous avez percé le secret de ma longévité : du canard à tous les plats et à toutes les sauces. Quoique je puisse dire la même chose du poisson, du foie gras … bref, évidemment j’ai déjà regardé s’il y avait du foie gras au menu. Troisième jour et je me refuse toujours à choisir le buffet de hors-d’œuvre en guise d’entrée. Souhaitant tout de même goûter des plats du coin, je me suis décidée pour un filet de limande en plat et un fondant au caramel au beurre salé d’Isigny en guise de dessert, un vrai petit régal !

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Jour 4

Aurais-je finalement jugé trop sévèrement au premier plat ce restaurant ou m’habituais-je aux plats moins sophistiqués comme j’en ai pourtant l’habitude ? La nourriture n’était certes pas comme dans un restaurant étoilé, mais la forme et le fond étaient tout de même présents. Au début peu à mon aise, j’ai pu me familiariser avec les lieux et les membres du personnel, ce qui m’a peut-être manqué dans d’autres établissements, faute de temps. Je n’ai pas évoqué les petits-déjeuners mais ils étaient assez fournis, présentant aussi bien des pains au chocolat que du jambon.

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Blanc de poulet / jambon / Livarot coulant

Pour résumer je situerais la cuisine du Kyriad / Karousel au-dessus de celle servie à l’Ibis du Havre, mais en-dessous de la star incontestée jusqu’alors : le Novotel.

Supprimer ce Message ?

Il y a toujours ce moment où l’on boit – trop – et où se dit que tout est possible, tout est réalisable. Où l’on pense que tout le monde est dans le même état d’esprit, un peu jemenfoutiste, beaucoup rêveur. Là où cela devient dangereux est quand l’alcool n’est là que pour atteindre ce moment où l’on pense qu’on va pouvoir avancer dans la vie, car tout n’est qu’illusion. Boire pour se pousser à dire les choses que l’on pense, boire pour faire en sorte que les choses avancent, boire pour avoir l’impression que cela puisse être le cas. Boire pour ne plus avoir peur que tout reste en l’état.

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Il y a aussi toujours ce moment où l’on se réveille, après une nuit sans dormir, à se retourner sans cesse, à être malade parfois, et où l’on se rend compte que tout n’est pas réalisable, loin de là. Qu’il ne suffit pas de boire ou d’y croire très fort pour que les souhaits se réalisent. Où l’on est passé de la moitié du temps où l’on se critique de ne pas oser dire ce que l’on pense, à l’autre moitié du temps où l’on regrette d’avoir été franc et où l’on aimerait n’avoir rien dit, n’avoir rien fait. Etre resté dans la passivité pour ne pas risquer des conséquences qui feraient regretter d’assumer ses envies.

Knock Knock [Film 2015]

Me plonger dans les salles obscures m’avait grandement manqué. J’y ai découvert un film où je n’avais ni vu la bande-annonce, ni même vraiment lu le synopsis. En revanche, j’ai vu que Keanu Reeves en était l’acteur principal, et il n’en a pas fallu plus pour me décider d’aller visionner Knock Knock.

Contrairement à ce que l’on pourrait croire au début du film, ce dernier n’est pas tourné à Los Angeles (où j’aurais juré mordicus avoir reconnu les maisons), mais à Santiago. Présenté au festival de Deauville ayant eu lieu au début de ce mois, le film est seulement sorti en salles françaises ce mercredi.

On parle de harem reverse, bah là pour adopter la même logique, ce serait un Funny Games reverse. Un film où le girl power dans les tendances perverses met mal à l’aise. Pour cause, le film est étiqueté en tant que thriller érotique. Facile à croire quand on sait qu’on en doit la réalisation à Eli Roth. Keanu Reeves donc (Evan dans le film), est un bon mari et un bon père de famille, qui se retrouve seul chez lui pour le weekend prolongé, à cause du travail, pendant que le reste de sa famille est en séjour à la plage. Deux jeunes femmes vont alors sonner à sa porte et rendre son weekend bien moins paisible qu’il ne le pensait.

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Les acteurs m’ont impressionnée. A part la famille et quelques autres personnages secondaires qu’on voit très peu, le film se concentre sur trois uniques protagonistes : Evan, Bel et Genesis, respectivement joués par Keanu Reeves, Ana De Armas et Lorenza Izzo. Tous les trois m’ont véritablement bluffée, et en particulier les deux femmes, peu connues au sein du cinéma américain. Leur interprétation est des meilleures quand on sait le rôle qu’elles jouent. Pétillantes, fraîches, naturelles, très belles et complètement cinglées, je ne pouvais pas me détacher de leur personnage une seule seconde, malgré parfois quelques longueurs durant le long-métrage.

Une réussite en demi-teinte toutefois car j’ai trouvé que le film manquait par moments de rebondissements et se reposait sur certains lauriers, mais la folie mise en avant par les acteurs et le rôle de victime joué par Keanu Reeves (c’est rien à côté des 47 Rônin) aident le film à tirer son épingle du jeu.

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Ma rentrée littéraire 2015

Ayant la chance d’utiliser très rarement les transports en commun dans le cadre de mon travail, j’ai profité des semaines de vacances (et des allers / retours Paris / Le Havre) pour me replonger dans l’une de mes activités préférées : la lecture. Je suis très orientée polar, mystère, thriller, comme pour le septième art finalement. Voici un petit point sur les livres que j’ai pu lire ce mois-ci, sans aucun lien avec la rentrée littéraire officielle de cette année.

gardiendephare Le Gardien de Phare – Camilla Läckberg

Septième tome de la série consacrée à Erica Falck et Patrik Hedström, Le Gardien de Phare garde le même ton et le même univers que les précédents. Publié en France aux éditions Actes Sud dans la collection Actes noirs, le livre nous amène à nouveau dans les secrets de famille, les meurtres à résoudre, avec le côté historique en moins, qu’on avait pu trouver dans L’Enfant Allemand par exemple. J’ai connu Camilla Läckberg en même temps que Stieg Larsson, à l’époque où les romans polars suédois ont véritablement décollé. Le Gardien de Phare m’a moins tenue en haleine que les précédents ouvrages, à cause d’une intrigue plus facilement devinable. Pour autant, on parvient sans problème à s’immiscer dans l’histoire au point de vouloir dévorer les pages à vitesse grand V.

La Vraie Parisienne – Anne Plantagenet

la-vraie-parisienne-anne-plantagenet-editions-j-ai-lu-librio-15810648 Trouvé complètement par hasard dans ma bibliothèque de quartier, ce livre d’Anne Plantagenet est aussi bien à destination des parisiens que des autres. Il oppose le point de vue que peuvent avoir les « provinciales » sur les parisiennes (tout le temps chics, au top de la mode, belles en toutes circonstances, tueraient père et mère pour une place dans le métro, mangent bio …) à la réalité. Composé d’une douzaine d’histoires courtes, il démolit les clichés qui servent de barrières entre les différents lieux de vie et permet d’ouvrir les yeux sur la vraie vie à l’intérieur de la capitale, qui ne se résume pas à aller voir la fashion week ou passer son temps au café de Flore.

Concerto à la Mémoire d’un Ange – Éric-Emmanuel Schmitt

concerto-c3a0-la-mc3a9moire-d_un-ange-e28093-eric-emmanuel-schmitt1 Comme pour Amélie Nothomb, j’ai lu la quasi intégralité des livres d’Éric-Emmanuel Schmitt. Pour autant, je n’avais pas encore lu celui-ci : Concerto à la Mémoire d’un Ange. Il regroupe quatre nouvelles (L’Empoisonneuse, Le Retour, Concerto à la Mémoire d’un Ange et Un Amour à l’Élysée). Comme de bien souvent pour l’auteur, ce roman traite d’histoires d’amour ; mais d’amour perdu, d’amour raté, d’amour oublié, où a été donné ou non une seconde chance. Je n’ai pas été touchée par ces histoires comme j’ai pu l’être pour le magnifique La Part de l’Autre, où il nous raconte la vie et le monde différents selon l’acceptation ou non d’Adolf Hitler aux Beaux-Arts. Pour autant, Concerto à la Mémoire d’un Ange est représentatif des écrits de l’auteur dans sa description de l’autre et son envie de souhaiter à tous une belle fin.

La Femme qui Valait Trois Milliards – Boris Dokmak

LFQV3M_02 Gros coup de cœur estival pour La Femme qui Valait Trois Milliards, qui n’est ici autre que Paris Hilton. Enlevée depuis quelques temps dans le plus grand secret, impossible de savoir si l’héritière est encore en vie ou non. Ce polar prenant montre une vraie enquête policière mêlée à l’histoire américaine et égyptienne, qui n’est pas pour déplaire aux fans d’égyptologie comme moi. Ne vous laissez pas décourager par la grosseur du livre car il se lit avec une facilité déconcertante. Les rebondissements et le sens du thriller sont maîtrisés de bout en bout par l’auteur, ce qui fait que je n’aurais jamais pensé être aussi enthousiasmée à l’idée d’avoir lu un ouvrage parlant de Paris Hilton.

Journal Intime – Chuck Palahniuk

journal-intime-chuck-palahniuk Fait extrêmement rare dans l’histoire de mes lectures, j’ai abandonné ce livre. Il m’ait souvent arrivé de lire de mauvais ouvrages, mais par ténacité j’y parvenais toujours à bout. Je n’ai pas trouvé ce livre mauvais mais je ne me sentais pas dedans, pas motivée par les événements (alors que je l’avais été évidemment à la lecture de la quatrième de couverture), pas boostée par la promesse de forts éléments de tension qui tardaient à arriver. Au bout de 130 pages sur 350, j’ai donc décidé de m’arrêter là.
Pour le pitch tout de même, une femme écrit son journal intime, suite à la tentative de suicide de son mari, actuellement dans le coma. Ce journal intime est écrit pour quand il se réveillera, pour qu’il puisse savoir ce qui s’est déroulé en son absence. En plus de cela, on ne sait pas pourquoi il a souhaité en finir, ni pourquoi il s’est mis à murer certaines pièces des maisons voisines avant son passage à l’acte.
Le résumé promettait de la folie et une dérive vers le fantastique que je n’ai pas vues. J’ai toutefois bien ressenti la névrose de l’héroïne, en espérant qu’elle ne représente pas celle de l’auteur.

Léviatemps – Maxime Chattam

cvt_Leviatemps_6834Maxime Chattam reste, avec JC Grangé dont je vais parler juste en dessous, l’un de mes auteurs français de référence dans le domaine du polar. Théories du complot, assassinats, dystopies : tous ces thèmes ne peuvent que me plaire. Chattam nous plonge ici dans le Paris des années 1900, face à l’Exposition Universelle et aux meurtres de courtisanes, rappelant sans conteste Jack l’Éventreur. Léviatemps fait partie d’une série en deux tomes, dont le deuxième volume est Le Requiem des abysses.
Nous voilà donc plongés dans les rues de Paris et dans une enquête des plus prenantes, à la recherche d’un ou plusieurs meurtriers mettant à mal les maisons de plaisir, en nous montrant un monde remplis de vices mais d’espérance aussi.

La Forêt des Mânes – Jean-Christophe Grangé

9782253158486-T Coup de cœur là aussi pour cette oeuvre de Jean-Christophe Grangé, vous savez, celui à qui l’on doit également Les Rivières Pourpres mais aussi Le Concile de Pierre, tous les deux adaptés sur grand écran. Nous sommes dans ce livre immergés dans l’univers du mal, encore une fois, mais plus spécialement dans celui du cannibalisme et du dédoublement de personnalité. Paru en 2009, nous partons de Courbevoie / Nanterre / Paris pour finir au Nicaragua, au Guatemala et en Argentine, sur les traces d’hommes plus ou moins préhistoriques, mêlant thriller au domaine scientifico-fantastique, puisqu’il s’approche d’un sujet qui peut en toucher beaucoup : celui de l’origine de l’homme et de mal, ainsi que leur développement à tous les deux. Ce livre fait 512 pages mais j’aurais apprécié qu’il en fasse 1000, tant l’écriture de Grangé est un vrai délice.

Incurables – Lars Kepler

2vmf29xeqk Fan de Lars Kepler (nom de publication du couple Alexandra Ahndoril et Alexander Ahndoril qui publient leurs ouvrages à quatre mains) depuis son premier roman, c’est avec délectation que je me suis plongée dans Incurables, sorti en Suède en 2011. Comme Stieg Larsson, comme Camilla Läckberg, Lars Kepler a / ont la force d’écriture et la maîtrise des éléments et du suspense pour réaliser un vrai et bon polar.
Sans vous résumer l’intrigue de pied en cap, un meurtre a eu lieu dans un établissement pour adolescentes difficiles, où s’engage bien entendu une chasse au coupable. Les chapitres sont très courts, souvent trois ou quatre pages, ils permettent la présence d’événements réguliers mais également de pouvoir s’échapper du livre quand bon nous semble. Des trois auteurs suédois que j’ai cités, ma préférence reste tout de même pour Camilla Läckberg, aussi bien pour son style que pour les personnages récurrents pour lesquels j’ai enfin retenu les noms.
Je vais m’arrêter là car cela fait déjà beaucoup de lectures d’un coup, d’autant plus que La Faiseuse d’Anges m’attend sur mon bureau …

News Septembre 2015

J’ai repris du poil de la bête niveau écriture, mais il faut dire que j’avais récemment des sujets d’écriture potables.

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Sinon, la bande-annonce du film Angry Birds vient de sortir alors que ce dernier est prévu pour août 2016.
J’ai vu la sortie de Sinister 2 quand j’étais aux Etats-Unis et à peine rentrée je me suis rendue compte qu’il n’était déjà plus en salles.
Le nouvel album de Mylène Farmer a enfin une date de parution officielle, le 6 novembre 2015.
Six dates de concert à Paris ont finalement été annoncées pour la prochaine tournée de Muse.
Teasée par Canal +, la saison 2 des Revenants débarque lundi prochain à 20h55 sur la chaîne.
Après l’expo Ghibli au musée Art Ludique l’année dernière à la même époque, c’est au tour de « L’art dans le jeu vidéo » d’avoir sa propre exposition, à partir de demain.
La suite de la série Heroes recommence ce soir, avec la diffusion des deux premiers épisodes de la nouvelle saison.
Une éclipse totale de lune est prévue lundi matin, entre 4h11 et 5h23, heures françaises, ce que nous ne reverrons pas avant 2033 !

Une Foodie à Montréal

C’en est fini pour les Etats-Unis mais encore un article en dehors des frontières grâce à l’escale faite à Montréal. Quitte à s’y arrêter, autant faire en sorte que cela dure plus d’une journée. L’occasion pour goûter des mets locaux, et pas seulement du sirop d’étable, mais également la fameuse poutine !

FullSizeRender Entre la nuit dans l’avion et le décalage horaire c’est un espèce de goûter / dîner que nous avons pris à 18 heures. Goûter à cause de l’heure, dîner pour ce que nous avons mangé. En guise d’apéritifs : des frites à la bière. Hé oui, ça ne s’invente pas mais c’est très bon. Puis la poutine, spécialité du coin… Spéciale, le mot est adéquat. Constitué de frites, fromage et sauce, le plat ne m’a pas franchement convaincue. J’ai été heureuse de le goûter mais je ne pense pas revivre l’expérience. Si vous faites toutefois escale à Montréal, n’hésitez pas à visiter ce site, qui pourra vous guider vers les meilleures poutines du quartier, et où j’adhère complètement à la phrase d’accroche : « La poutine : chef d’oeuvre de l’imagination débridée québécoise ? Ou bien un des plus grands désastres culinaires mondiaux ?« .

Poursuivant sur notre lancée, avant de partir dans la traversée de la ville en long, large et travers, nous nous arrêtons dans une pâtisserie proposant pléthore de friandises à base de sirop d’érable. J’ai pour ma part craqué pour des biscuits secs en forme de feuille d’érable, fourrés façon BN avec une crème à base d’érable. J’ai attendu mon retour en France pour les déguster et je n’ai pas regretté mon achat.

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Après une bonne nuit de sommeil réparateur, direction le Mont Royal pour une escapade qui finira en escalade. Mais avant cela, histoire de prendre des forces, Mélou et moi nous sommes arrêtées dans une boulangerie / pâtisserie présentant de jolis produits. Pour accompagner mon café, j’ai trouvé quelque chose qui pourrait finalement se faire aisément n’importe où mais que je n’avais pourtant jamais vu : un croissant grillé renfermant du jambon, du fromage et une pointe de sirop d’érable. Appréciant particulièrement le sucré / salé, ce fut une très bonne découverte, que je vais m’empresser de mettre en pratique à la maison.

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Pour le dernier repas des vacances, direction un restaurant de bagels (pourtant d’origine européenne mais passons) qui était apparemment une des spécialités du quartier où nous nous trouvions. Recommandé par notre hôte et un autochtone, nous nous sommes dirigés vers le St-Viateur, qui a apparemment une belle notoriété et une clientèle affluente. Les bagels proposés sont combinés d’une large variété de pains différents, mais aussi d’une vaste gamme de garnitures. J’ai succombé au dernier cheesecake du voyage, que j’ai eu là aussi du mal à finir, tant je le sentais dense. A savoir que St-Viateur propose aussi la vente à emporter de ses pains, comme vous pouvez le voir sur la photo à droite.

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Ce bref séjour à Montréal fut une réussite en bien des points, aussi bien pour la sympathie de ses habitants, les lieux touristiques à découvrir et, comme vous avez pu le voir, les plats bien différents de ceux que l’on peut trouver dans nos contrées habituelles.