Comédie policière sortie en France depuis une dizaine de jours, le film The Nice Guys a été présenté hors compétition au festival de Cannes de cette année.
Réunissant Russell Crowe et Ryan Gosling, sous la houlette de Shane Black (L’Arme fatale, Iron Man 3…), le film se déroule en plein milieu des années 70, entre films pornographiques, scènes d’action à la pelle et dialogues truculents.
À Los Angeles en 1977, Holland March, détective privé alcoolique, dépressif, escroc et maladroit, enquête pour retrouver une certaine « Amelia » à la suite de la mort d’une actrice pornographique renommée, Misty Mountains. Amelia, qui semble très inquiète, embauche alors Jackson Healy, spécialiste de l’agression physique, pour qu’il fasse cesser cette investigation. Après avoir fracturé le bras de March, Healy constate la disparition d’Amelia et convainc March de reprendre son enquête. Ces deux partenaires, épaulés – parfois contre leur gré – par Holly, la fille de Holland, vont finalement mettre à jour un complot mêlant pornographie, pollution, hauts fonctionnaires et industrie automobile. [Wikipedia]
Je suis allée voir ce film sans même savoir de quoi il parlait, ou même l’ambiance qui pouvait s’en dégager. Ce fut une très bonne surprise. Ce film m’a beaucoup fait penser à The Big Lebowski, que ce soit au niveau des musiques utilisées, des répliques et des personnages. Très axé comédie, le long-métrage ne délaisse absolument pas le scénario, bien au contraire. Mêlant scènes d’espionnage, d’action et de comédie (voire même de surréalisme complet, justifié par la suite), The Nice Guys tient en haleine durant les deux heures qui le composent.
Véritable pause dans la vie quotidienne, le film nous berce tout en nous secouant, au rythme de Kool and the Gang, Earth, Wind and Fire, les Bee Gees et bien d’autres … Un bon vent d’air frais, drôle et punchy !